J’ai appris que notre cerveau n’a pas évolué aussi vite que notre société.
Depuis qu’on n’a plus besoin de chasser en groupe pour survivre, j’aurais pu penser que notre besoin d’appartenance serait moins important.
Mais notre ADN n’a pas encore pris le virage de la modernité, et ça influence toujours nos comportements
Quand on se sens rejeté, ce n’est pas qu’une simple émotion : les mêmes circuits neuronaux que ceux liés à la douleur physique s'activent.
J’ai découvert que c’est presque comme si le cerveau confondait le rejet avec une menace réelle.
À l’époque, être exclu, c’était mourir.
Ce besoin d’être aimé par un groupe, c’est un vestige de l'évolution.
Voilà pourquoi !!
Ce besoin ancien d’appartenance peut nous jouer des tours, mais lorsqu’il est nourrit de manière efficiente: il nous donne un réseau, du soutien et des opportunités.
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